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vendredi 22 juin 2012

Ces grâces qu’on reçoit et auxquelles on ne prête pas attention


 




 Ces jours ci, j’ai commencé à faire plus attention à ma vie au quotidien, à son déroulement et j’ai constaté que nous sommes victimes plusieurs fois par jour de la grâce incommensurable de Christ. Cependant, peu de personnes perçoivent ces grâces, occupées qu’elles sont à se plaindre de leur sort :
La santé : on ne l’apprécie réellement que lorsqu’on est malade. Quand on est en pleine forme, c’est un peu comme une chose normale ; la santé semble être pour nous, une chose dont on a droit, pourquoi être reconnaissant pour ça ? C’est un peu comme le souffle de vie : on l’a, il nous appartient mais contrairement à la santé qu’on peut apprécier quand on tombe malade ; on n’aura pas l’occasion d‘apprécier ou de regretter le souffle de vie quand on sera mort.
Pour ceux qui empruntent les transports en commun : la semaine dernière, le même jour, les véhicules que j’ai empruntés (à l’aller comme au retour) ont percutés d’autres véhicules. Dans le premier cas, on avait raison, dans le second, on était en faute. Et c’est à ce moment que je me suis rendu compte que «  mais, vraiment !!! C’est comme ça, les gens meurent facilement sur la route ! ». C’est vrai que je rendais grâce à Dieu chaque jour pour sa protection mais maintenant, mon regard a changé. Mon « merci » a beaucoup plus de sens à mes yeux.

mercredi 20 juin 2012

La pensée du jour: Faites le bon choix

"Je suis l'Eternel, ton Dieu, Qui fortifie ta droite, Qui te dis : Ne crains rien, Je viens à ton secours." Esaie 41.13
Combien je me souviens de cette journée du 15 mars de l'année 1996 ! Je m'en rappelle comme si c'était hier, car, ce jour-là j'ai voulu mettre fin à mes jours.

Ma vie était en ruine, un jour, j'ai fait le choix de croire...
Toute la matinée, je suis resté avec un couteau à la main en essayant de trouver la force de me sectionner les veines.

À ce moment-là, j'aurais aimé m'accrocher à quelque chose qui m'aurait redonné le goût de vivre, mais tout était noir autour de moi ! Il n'y avait aucune issue ! La mort me semblait être la seule solution !

Alors que je n'étais pas encore chrétien, il m'était arrivé d'aller plusieurs fois à l'église et j'appréciais particulièrement deux choses pendant les cultes : la louange et la prédication. Cependant, je restais tout de même perplexe sur la véracité de la parole qui était annoncée.

lundi 11 juin 2012

La fille du roi de la mer


Je sais, j’avais promis faire du mois de mai, pour nous le mois littéraire et je n’ai pas tenu parole. Désolé surtout que la Bible dit « Mieux vaut pour toi ne pas faire de vœu que d’en faire un et de ne pas l’accomplir » Ecclésiaste 5V4. Je vous demande pardon. Je ne chercherai pas des excuses en vous disant que j’étais trop occupée, que je n’avais pas de temps à moi et que j’avais dix milles choses à faire. Non !! Je ne vous dirai pas ça. Juste vous demander pardon et me ressaisir.
Aujourd’hui, je partage avec vous le roman « la fille du roi de la mer » de Jacqueline Dusmenil. Il est vrai qu’il n’est pas tiré d’une histoire vraie comme Va à Bethel, mais il n’en demeure pas moins qu’il est plein d’enseignements. 

Résumé : Helga est une jeune fille sauvage, née d’un père barbare, chef des vikings (Viking signifie roi de la mer. On appelait ainsi les chefs danois et norvégiens.). Les vikings sont un peuple qui adorait des dieux avides de sang et de sacrifices humains ; leur fortune est le fruit de dix milles pillages et tueries. C’est donc  de retour  de l’une de ses activités favorites (le pillage) qu’Olaf, père d’Helga lui ramène un chrétien français, Thierry, alors qu’elle s’attendait à recevoir un merveilleux couteau.
Ce chrétien va, par l’annonce de l’évangile et l’amour du prochain, toucher le cœur d’Helga au point de l’amener à se convertir malgré les persécutions de ses parents et à demeurer fidèle au Dieu « étrange » des chrétiens ; Celui là qui ne veut pas de sacrifices humains, qui demande de pardonner quand on nous fait du mal, qui n’est pas cruel mais plein d’amour, qui demande d’aimer même ses ennemis. Ce sont, pour Helga, de nouveaux concepts qu’elle va expérimenter et qui vont à jamais changer sa vie.