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lundi 23 janvier 2012

Ils crurent...




  •   Depuis 38 ans, il était là, à la même place; le cœur rempli de frustration et de découragement!!!
    Le Seigneur vint à lui et lui demande : " Veux tu être guérit? "
-          «  qui ca? Moi? Mais bien sur, sinon qu’est ce que je fais ici ?ca, c’est quelle question bête ca ? »; Il aurait pu répondre mais au lieu de ça ; il lui dit :
-          Je veux bien mais je n’ai personne pour me mettre à la piscine et quand j’y vais, un autre y est déjà.
-          ok, donc comme tu veux guérir là, lève toi et prend ton lit et marche. rétorqua Jésus.
-          « Mais le gars là se fout de moi quoi ; il dit même pas je vais te mettre à l’eau ; en plus l’ange n’est même pas encore passé !ko, lève toi et marche. moi un paralytique, si c’était ça la, je ne serai plus ici ! si tu peux rien faire pour moi, faut pas te foutre de moi !!! » certains auraient répondu mais le gars, au contraire, se lève shouaaiii ; il pense même pas à son pied malade là, il se lève et…. miracle : il est guérit ; sa foi la guérit !!! (Jean 5 V 1-9)

  • Sa fille, tourmentée par un démon. la chair de sa chair en train de souffrir de la sorte ! quelle douleur pour une mère de voir son enfant souffrir ainsi !!! Et elle s’approche du maitre et crie :
-          seigneur !!! prend pitié, secours-moi !!!
-          « héee ma fille yako, allons y je vais guérir ton enfant ; non, plutôt, démon je t’ordonne de sortir. » aurait pu dire le Seigneur et à l’instant même le démon serait sortir. mais en lieu et place de cela, il lui annonce :
-          il n’est pas bon de prendre le pain des enfants pour le donner aux petits chiens !
-          Tsouo, le gars là parle mal dè !! il peut pas dire non simplement ? genre c’est moi son chien quoi !! Ok, il a raison ; c’est parce que j’ai demandé son aide qu’il me parle les carreaux. si j’avais passé mon chemin là ; est ce qu’il allait me parler kohan ?attend je vais prendre mes pieds pour partir même. Au moins on ne m’insultera plus !!! Mais au lieu de cela, elle lui dit :
-          oui Seigneur mais les petits chiens mangent les miettes qui tombe de la table de leurs maitres !
             Tchiééé la femme là a les qualités de parole dèh !! On lui parle mal mais elle est calée ! Et le Seigneur lui dit :
-          femme, ta foi est grande. qu’il te soit fait comme tu veux. Et à l’heure même sa fille fut guérit. La foi audacieuse !!!! (Matthieu 15 V22-28)

  • ils étaient assis ; TOUTE la nuit, pas un seul poisson. pourtant, ils avaient bel et bien jetés leur filet, comme d’habitude mais pendant toute une nuit : rien du tout. ahi !!! Au matin, quelqu’un vint à eux et leur demande « ya pas quelque chose à manger ? » ; ils répondent « non ». Il leur dit « Jetez le filet du côté droit de la barque ».
-          Mais il dit quoi celui là ? nous, on est pêcheurs là, on a attendu toute la nuit, y a pas poisson ; toi tu as dormi tu es content ; tu vas venir nous dire de jeter filet là à droite ! de qui se fout-on ? si y a pas poisson devant là, c’est à droite, eux tous ils vont venir se mettre quoi !!! et puis d’où sort-il même ?
Cependant la Bible dit que «  ils le jetaient » sans discuter, sans savoir qui leur avait donné cette consigne ; et « ils ne pouvaient plus le retirer à cause de la grande quantité de poisson. ». La foi agissante, aveugle, téméraire !!! (Jean 21 V 3-7)


Toutes ces personnes ont eu foi en Dieu, ont cru en sa Parole sans se poser de question, sans regarder à leur limite ou aux limites que leurs yeux voyaient ; et elles ont obtenu réponse à leur problème.
Cette foi là, je l’ai expérimentée aussi et je peux vous dire que ça marche à tous les coups.
Que veux-tu ? Qu’espères-tu ? Le Seigneur te dit de croire car TOUT EST POSSIBLE A CELUI QUI CROIT.
Dieu peut le faire, ce que tu désire là, Dieu veut le faire ; croit, aie confiance et tu verras.

jeudi 19 janvier 2012

La pensée du jour : Il n'était pas beau


 


“L'Éternel ne regarde pas ce à quoi l'homme regarde, car l'homme regarde à l'apparence extérieure et l'Éternel regarde au cœur.” 1 Samuel 16.7
“Allo maman, bobo ! Comment tu m'as fait j'suis pas beau.” Comme dans la chanson, beaucoup désespèrent devant leur reflet dans le miroir.

Le Christ lui non plus ne correspondait pas aux canons de beauté de son époque.
Dans notre univers de l'image, on voue un véritable culte à la beauté, au marché florissant. Des corps jeunes, minces et sensuels, symboles de bonheur et de réussite, s'imposent partout tant sur les murs, que dans les magazines ou les films.

Et ce dictat de la perfection a peu à peu instillé une pernicieuse théorie : celui ou celle qui n'est pas beau, serait moins crédible, aimable ou respectable que les autres. Pas étonnant donc, que tant de femmes mais aussi d'hommes, souffrent de complexes liés à leur physique. L'image avant tout !

Et pourtant, le saviez-vous ? Le Christ lui non plus ne correspondait pas aux canons de beauté de son époque. Contrairement à ce que suggèrent de nombreuses représentations artistiques, Jésus n'était pas beau !

Cela vous surprend-il ? C'est Esaïe qui l'affirme : “Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards et son aspect n'avait rien pour nous plaire.” Et le prophète insiste encore : “Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas” (Esaïe 53.2- 3).

Et pourtant, plus que quiconque, Jésus-Christ a attiré et attire encore des foules à lui. Il est le seul à pouvoir transformer l'existence de millions d'hommes et de femmes. Ceux qui se tournent aujourd'hui encore vers lui, ne sont pas séduits par une apparence, une image, mais par son amour vrai, par la vie qui émane de sa personne. Ils trouvent dans leur Sauveur la véritable beauté, celle qui change les cœurs.

Alors loin de la vanité, de la superficialité, la merveilleuse nouvelle continue de courir et se répandre partout. Jésus, le méprisé, le rejeté, est devenu l'auteur, non d'une religion ou d'un mouvement, mais de la réconciliation avec Dieu, votre Créateur. Il est celui qui peut et veut vous redonner espérance, dignité et joie.

Une action de grâce pour aujourd'hui
Seigneur je te loue de ce que tu as envoyé ton fils bien-aimé pour me libérer et me transformer. Merci de m'aimer tel que je suis.


>>> Merci à Solange Raby de nous avoir transmis ce texte dont elle est l'auteur.


Eric Célérier







lundi 9 janvier 2012

Les voies de Dieu sont insondables!!!


vendredi 20 juillet

Nous sommes la veille de mon mariage. Je suis tellement excitée que demain arrive ! Je vais enfin pouvoir vivre pleinement mon amour avec cet homme merveilleux que le Seigneur a bien voulu m’accorder. Qui eut cru qu’un jour, la grande dame, disons plutôt la vieille fille que je suis, se marierait ! Et oui, je suis ce qu’on appelle en Afrique une «  vieille fille ». En effet, j’ai près de 32 ans et je ne suis pas encore mariée, et je suis aussi….vierge ! Étonnant mais c’est vrai. La cause ? De ma virginité bien sûr_ puisque je ne sais pas pourquoi à mon âge, je suis toujours célibataire alors que j’ai tous les atouts !_ je me suis convertie à l’âge de 15 ans. Je n’ai donc pas eu à faire comme les ados de ma promotion. J’étais toujours dans mon coin, étudiant ou priant, rejetant du revers de la main, tous les garçons qui me faisaient une cour même assidue !

Au lycée, on m’a surnommée la fille de 30 ans ou encore la fille aux cousins (parce que lorsque mes copines racontaient leurs chauds week-end, moi je racontais celui de mes cousins puisque je n’avais pas d’expérience personnelle à raconter !). Je suis très cool et sympa de nature, un peu « bandite » comme on dit, mais mon « côté chrétien » m’a longtemps retenu de me mettre dans les histoires de cœur ! En fait, je me trouvais un peu trop jeune pour ces choses. En plus, papa ne cessait de me rappeler que le premier mari d’une femme, ce sont ses études, et le moniteur, à l’église nous avait appris que fréquenter un garçon, à notre âge, est un péché ! Dieu n’aime pas ca, disait-il. Bon, en même temps, à y bien réfléchir, je crois qu’ils avaient tort ; je me dis que ca dépend des relations parce que tel que je me connais, si je sortais avec un garçon à cet âge (15ans), ce serait vraiment rien de plus qu’un ami avec qui je bavarde et prie, un point c’est tout. Et peut être que ce ne serait pas à 32ans que je me marierais. Enfin, bref. Le passé, c’est le passé, je ne peux rien changé à cela. Revenons donc à nos souvenirs !

Alors, passé le cap du lycée, nous sommes entrés à l’université. Là également, j’étais très assidue au cours. Toujours à l’heure, et à jour même quand je suis malade. Mes week-end, je les passais à l’église et en famille ; jamais de virées nocturnes avec les copines. Ce n’est pas que je n’en avais pas envie, mais l’Esprit de Dieu me rappelait toujours à l’ordre.

J’étais toujours prête pour les programmes à l’église, toujours demoiselle d’honneur au mariage de mes copines (jusqu’à ce qu’elles me trouvent assez vieille pour être une demoiselle.pff !!!). Et c’est même pendant l’un de ces mariages que j’ai rencontré mon futur mari.

J’avais 29 ans lorsque j’ai rencontré Paul. C’était au mariage de Louise, ma meilleure amie. J’étais dame de compagnie et très bien habillée pour la circonstance. Paul était un ami de classe du marié. Au premier regard, je fus frappée par son charme plutôt discret. Il ne fait pas parti des hommes qu’on pourrait qualifier de beaux, mais il avait quelque chose d’indéfinissable dans son regard. Il avait de yeux tirés, un nez normal (pas épaté, pas long ; juste ce qu’il faut), une bouche charnue et surtout un cou strié ! J’aime bien les hommes au cou strié ! Je vous rassure tout de suite, ce n’est pas le jour du mariage, que j’ai remarqué tout ca, c’est bien plus tard, le jour où j’ai accepté son invitation à déjeuner.

En fait, au mariage, on n’a pas été présenté (et puis, qui  a le temps de faire présentation dans mariage des gens !), moi-même, je ne l’ai même pas remarqué alors que lui, oui. C’est deux mois plus tard, alors que je descendais du boulot (je suis PDG d’une petite entreprise de la place), que j’ai entendu quelqu’un me héler à un feu. Je ne voulais pas m’arrêter au départ mais comme les voies du Seigneur sont insondables, j’ai garé le véhicule après le feu. Le visage que je voyais me semblait familier mais pas plus. Le jeune homme s’est approché (je le croyais jeune, en effet, alors qu’il a 5 ans de plus que moi) et a demandé que je baisse les vitres. Ce que j’ai fait. Il s’est présenté, et a rappelé les circonstances dans lesquelles, on s’était rencontrés. On a ensuite échangé nos numéros et on s’est quittés.

Depuis ce jour, on ne s’est plus perdu de vue. J’ai appris par la suite, qu’on fréquentait la même église et que Paul n’avait plus de boulot depuis 7 ans. Quand on s’est mis ensemble, j’ai fais mains et pied pour lui trouver un travail d’archiviste chez l’un de mes amis (Paul a un BTS en archivistique). Au départ, il refusa mon offre, mais compte tenu de la situation assez alarmante, il finit par l’accepter. Son salaire ne lui permettant pas de se prendre une maison décente, j’ai décidé de tout prendre en charge : loyer, eau, électricité ; bref, tout ; il n’avait qu’a assurer la nourriture.

Puis vint ce jour, où il me demanda en mariage ! C’était le plus beau jour de ma vie. Il m’invita chez lui, me fit la cuisine, et devant un diner aux chandelles, me fit la demande. ca fait quand même longtemps que j’attendais ce moment ; ca faisait déjà deux ans qu’on était ensemble ! J’ai accepté sans hésiter, et avant même d’informer mes parents, nous arrêtions la date de mariage. Ma mère était la plus heureuse (enfin, son ainée va se marier, il était temps !). C’est avec une grande joie et un énorme soulagement que mes employés accueillirent la nouvelle.

Je fis plusieurs cartes d’invitation (à mes propres frais) pour mes anciennes copines de classe, pour mes frères et sœurs en Christ, pour mes parents, pour les amis de Facebook ; bref, pour tout le monde. ca devait être un moment magique et je voulais que tout le monde y prenne part…
Bon, assez de nostalgie, il faut dormir car demain, c’est le grand jour !

samedi 21 juillet :

06h42 : je suis déjà débout à cette heure ! Le mariage commence à 11h à la mairie et à 14h à l’église. J’ai hâte d’y être…

09h29 : Je suis en ce moment au salon de coiffure, pour me faire la coiffure du siècle.lol
Mon téléphone sonne, c’est mon mari, mon futur époux qui m’appelle.

 allo, mon cœur ; comment tu vas ? 
- ca va bien, et toi ? 
je suis aux anges, mon cher. j’ai hâte d’être Mme Kassidy 
   -   
    - allo, tu es là ? 
   - oui, oui, je suis là 
  -   alors, que me vaut cet appel avant l’autel ? je te manque, c’est ca ? je le sais et toi aussi tu me...
     - écoute chérie, il faut que je te dise quelque chose 
  -  oui, mon Adam, je t’écoute 
  -  il n’y aura pas de mariage...
  -  quoi ? mais pourquoi ? 
   - je ne me sens pas prêt à être ton mari, je ne pense pas pouvoir vivre avec toi. je ne suis qu’un archiviste et toi, tu es PDG d’un grand groupe 
  -  …. 
  -  j’ai peur qu’une fois marié, tu ne veuille porter la culotte, je ne me sens pas prêt à être humilié ou pointé du doigt. Surement les gens se diront que c’est à cause de ton argent que je t’épouse surtout que ma famille est pauvre et la tienne, riche... 
   - … 
  -  en plus, je ne suis plus convaincu. 
  -   
-   c’est mieux ainsi. au moins, je n’ai pas attendu d’être marié pour t’abandonner ensuite. c’est mieux qu’on s’arrête là, pour éviter de se faire mal dans l’avenir. 
  -   
  -  pardonne-moi. prend soin de toi. a plus.

Voilà où j’en suis aujourd’hui. Seule le jour de mon mariage. Mon fiancé vient de me plaquer. Que vais-je faire ? Que puis-je faire ? Que vais-je dire à toute ces personnes qui m’attendent en ce moment même à la mairie et à l’église ? Mais Seigneur, quel est mon péché ?qu’ai-je fait pour mériter pareille humiliation ?
Rien, absolument rien. Je ne peux dire que les voies du Seigneur sont insondables, vraiment impénétrables.

10h50 : j’ai fini de me coiffer et je suis à la maison. Ma dame de compagnie tente par tous les moyens de me joindre mais je refuse de l’entendre. Je ne sais pas trop quoi lui dire. Elle a finit par m’envoyer un message, me disant qu’elle serait chez moi d’ici à 20mn. Donc, dans 20mn, je devrai lui annoncer que le mariage n’aura pas lieu. Je me sens un peu idiote ; peut être aurais je dû retenir Paul, le supplier de revenir sur sa décision ; mais bon, je ne pense pas que courir après lui serait la bonne solution. Je n’aime pas que les gens fassent les choses contre leur gré alors… je suis anéantie !!!

11h00 : Paul m’a rappelé, il y a un moment ; pour s’excuser. En fait, il était mort de peur, dit-il. Il est donc en ce moment à la mairie. Il voudrait que je lui pardonne et que j’accepte à nouveau de l’épouser ! Mais moi, je ne sais plus. Faut-il lui faire confiance ? Ne va-t-il pas une fois de plus me lâcher ? Et puis, qu’est ce qui prouve qu’une fois mariés, pour les mêmes raisons, il ne voudra pas divorcer ou partir ? Je sais plus. Il est 11h et on m’attend surement à la mairie tout près de ma maison ; mais, moi je ne sais plus !

lundi 2 janvier 2012

Merci

Comment te dire ce que je ressens,
tes bienfaits sont trop grands;
du fond de mon ame, coulent des larmes,
qui traduisent mes silences.

Tu m'as fait la grace de voir cette nouvelle année ,
malgré les vicissitudes de l'année dernière,
tu m'as donné de vivre en cette année,
afin de chanter tes louanges;

Alors,que ma vie soit une fleur,
un parfum de bonne odeur,
que ma vie soit une fleur,
un parfum pour toi Seigneur,
Devant toi, je me repens;
fais de moi ce que tu voudras;
je te laisses, oh mon Roi,
écrire les pages de l'histoire de ma vie.
Merci Seigneur.